La religion musulmane: Vérité, universalité et pérennité

الإسلام، دين الحقِّ والعالميَّة والخلود

Aboû Fahîma Abd Ar-Rahmên AYAD

Nouvelle édition, corrigée et  augmentée: mouharram 1439/octobre2017

Au Nom d’Allâh, Le Tout-Miséricordieux, Le Très-Miséricordieux

Nous louons Allâh Le Tout-Puissant qui nous a guidés à la religion de Vérité qu’Il a agréée pour tous Ses serviteurs. Il a dit dans Son Noble Livre Et quiconque croit en Allâh, Il guide son cœur. Allâh est Omniscient﴿ At-Taghâboun (La Grande Perte), v. 11 ; et Il a également dit -à Lui la Pureté- Certes, la religion acceptée d’Allâh, c’est l’islam﴿ Êl ‘Imrân (La Famille d’Imran), v. 19. Et que la Prière et le Salut d’Allâh soient sur l’Ultime Prophète et Messager, Mouhammed dont Le Seigneur de l’Univers a décrit la Mission et la Prophétie par Sa Glorieuse Parole Et Nous ne t’avons envoyé qu’en miséricorde pour l’univers﴿ El Anbiyê’ (Les Prophètes), v. 107 ; et le Messager -prière et salut d’Allâh sur lui- a dit de lui-même : «Je suis Mouhammed et je suis Ahmed ; je suis le Prophète de la miséricorde, et le Prophète de la repentance…»[1]

En effet, celui qui examine la manière avec laquelle le Prophète -sur lui la prière et le salut- et ses compagnons -qu’Allâh les agrée- pratiquaient la religion, et médite, dans les différents domaines, les Textes révélés (Versets et hadiths) à la lumière de la compréhension des pieux prédécesseurs [As-Selef AsSâlih][2], parviendra à s’assurer que l’islam est une religion qui est capable de répondre aux besoins humains à toute époque et à tout endroit sur le globe.

Bien plus, puisque les Anges, avec leurs divers et variés degrés, vouent à leur Créateur, Allâh -Exalté soit-Il-, la profession de cette religion, serait-il alors impossible qu’elle suffise aux habitants de la terre, les humains ? Allâh -à Lui la Majesté- a dit Allâh atteste, et aussi les Anges et les doués de science, qu’il n’y a point de divinité à part Lui﴿ Êl ‘Imrân (La Famille d’Imran), v. 18. D’ailleurs, cela rappelle et corrobore en même temps le sens de la première partie de l’Attestation de Foi en islam, et qui en est en outre le premier pilier : «èch-hadou èn lê ilêha ill-Allâh (J’atteste que nul n’est en droit d’être adoré hormis Allâh)». Le Prophète -prière et salut sur lui- nous a appris que le mérite de ce témoignage est tel que la personne qui le prononce avec sincérité sera sauvée des feux de l’enfer. Il dit -sur lui la prière et le salut- : «Certes, Allâh a interdit d’entrer au Feu quiconque, en recherchant la Face d’Allâh, dit : ‘’lê ilêha ill-Allâh’’»[3]. Quant à la seconde partie de cette Attestation qui est  «wa èch-hadou ènna mouhammadèn raçoûl-Allâh (et j’atteste que Mouhammed est le Messager d’Allâh», elle est inséparable de la première, car elle la complète et valide son efficacité. Ainsi celui qui la renie ou s’en abstient, sa profession de foi ne sera certes pas acceptée auprès d’Allâh -qu’Il soit Très Haut-. Le Prophète -prière et salut d’Allâh sur lui- a dit à ce titre : «Par Celui qui détient l’âme de Mouhammed dans Sa Main, aucun de cette nation, juif ou chrétien, n’aura entendu parler à mon sujet, et mourra sans avoir cru à mon Message sans qu’il ne soit du nombre des gens du Feu»[4]. Voire, l’obéissance même au Prophète -prière et salut sur lui- est une condition pour la validité de l’obéissance à Allâh -Très-Haut-. Car elle est l’interprétation pratique de la Foi en islam, étant donné que le faire (les actes) et le dire (les paroles) et la croyance sont des composantes indivisibles de la Foi musulmane.

À ce sujet, citant ce Verset Dis-leur : « Obéissez à Allâh et obéissez au Messager. S’ils se détournent, il (le Messager) n’est alors responsable que de ce dont il est chargé, et vous assumez ce dont vous êtes chargés. Et si vous lui obéissez, vous serez certes bien guidés » Il n’incombe au Messager que de transmettre explicitement (son Message)﴿ An-Noûr (La Lumière), v. 5, l’illustre érudit, le vétéran Rabî’ Ibn Hêdi El Medkhali -qu’Allâh le préserve- a dit: « L’obéissance au Prophète -prière et salut d’Allâh sur lui- est une obéissance à Allâh -Exalté et Très-Haut soit-Il-, tel qu’Il a dit dans un autre Verset Quiconque obéit au Messager obéit certainement à Allâh. Quant à ceux qui se détournent de toi, Nous ne t’avons pas envoyé à eux comme gardien﴿ An-Nicê’ (Les Femmes), v. 80 ; et celui qui désobéit au Messager -prière et salut d’Allâh sur lui- a certes désobéi à Allâh -Exalté et Très-Haut soit-Il-, tel que cela a été mentionné dans certains hadiths. On se doit donc de vouer obéissance au noble Messager -prière et salut d’Allâh sur lui-; d’autant plus que cela renferme une des plus grandes causes de la guidée. Est compris dans cette obéissance, le fait de s’appliquer aux croyances évoquées dans son Message, contenues dans le Qour’ên et la Sounna, de croire à toutes les annonces relatives au passé, au présent et au futur. Concernant le passé, c’est de croire aux récits des Prophètes -Prière et Salut d’Allâh sur eux- depuis Adam –sur lui le salut- en passant par Noûh et les autres Prophètes : Houd, Sâlih, Ibrâhîm, Ishêq, Moûcê et les autres -Prières et Salut d’Allâh sur eux tous-. Ces récits comportent des exhortations, des enseignements et de l’éducation. Voire ils englobent des croyances, car Allâh nous y a exposé leurs croyances et leurs prédications -Prière et Salut d’Allâh sur eux- (…) L’obéissance au Prophète Mouhammed -prière et salut d’Allâh sur lui- est un devoir, une astreinte qui nous est parvenue de la part d’Allâh -Béni et Très-Haut soit-Il- qui nous a créés pour L’adorer, et nous a honorés par l’envoi de Ses Messagers et la descente de Ses Livres, dont le plus accompli (parfait) est celui (le Qour’ên) que Mouhammed -prière et salut d’Allâh sur lui- a apporté. [Ce noble Prophète] qui est, lui aussi, le plus parfait des Messagers. Nous n’avons donc aucune excuse pour nous attarder à lui obéir. Et nous n’avons devant nous, par Allâh, aucun choix. Opter pour sa désobéissance est un choix fait pour choir dans le malheur, l’égarement et l’enfer. Tandis que lui obéir, se soumettre à ses prescriptions et ses interdictions ; se conformer à ses directives est le chemin qui nous guide à tout bien et nous délivre de tout mal. »[5]

De plus, pour démontrer que cette Attestation est enjointe à tous les Prophètes envoyés par notre Seigneur, depuis Adam jusque Mouhammed -sur eux tous la prière et le salut-, et afin de confirmer que les religions qu’Il leur révéla ne sont que l’islam (el islêm), Allâh -Pureté à Lui- a dit Et Nous n’avons envoyé avant toi aucun Messager à qui Nous n’ayons révélé : « Point de divinité en dehors de Moi. Adorez-Moi donc! »﴿ El Anbiyê’ (Les Prophètes), v. 25 ; et Il a aussi dit ﴾Il vous a légiféré en matière de religion, ce qu’Il avait enjoint à Noûh (Noé), ce que Nous t’avons révélé, ainsi que ce que Nous avons enjoint à Ibrâhîm (Abraham), à Moûcê (Moïse) et à ‘Icê (Jésus) : « Établissez la religion ; et n’en faites pas un sujet de division! » Ce à quoi tu appelles les associateurs (païens) leur paraît énorme. Allâh élit et approche de Lui qui Il veut et guide vers lui celui qui se repent﴿ El Anbiyê’ (Les Prophètes), V. 25. Ce deuxième Verset qui mentionne les cinq Messagers doués de Résolution [oûli el ‘èzm] est une preuve évidente que l’islam est la religion que le Seigneur de l’Univers -Exalté soit-Il- a agréée à tous Ses serviteurs. Une religion qui parce qu’elle mène ses pratiquants à la Demeure du Bonheur, au Paradis, et leur fait acquérir l’Agrément d’Allâh dans l’ici-bas et dans l’au-delà, celui qui s’en abstient est alors considéré insensé, ne voulant pas faire partie des gens qu’Allâh a gratifiés. Ce constat est rendu par une Noble Parole d’Allâh –Très Haut soit-Il- dans laquelle Il rappelle aussi l’appartenance de Ses Envoyés à cette religion sublime et ultime : l’ISLAM Qui donc aura en aversion la religion d’Ibrâhîm (Abraham), sinon celui qui sème son âme dans la sottise ? Car très certainement, Nous l’avons choisi en ce monde ; et, dans l’au-delà, il est certes du nombre des gens de bien. Quand Son Seigneur lui avait dit : « Soumets-toi ! », il dit : « Je me soumets au Seigneur de l’Univers. » Et c’est ce que Ibrâhîm recommanda à ses fils, de même que Ye‘qoûb (Jacob) [en disant] : « Ô mes fils, certes Allâh vous a choisi la religion : ne mourrez point, donc, autrement qu’en musulmans (Soumis à Allâh)[6]»﴿ El Baqara (La Vache), V. 130-132.

Dans cette même optique, et après avoir cité les Versets précédents, l’éminent érudit, sa Sommité le cheikh ibn Bêz -qu’Allâh lui accorde Sa vaste miséricorde- a dit : « Nous avons su à travers ces Versets qu’Allâh -Exalté soit-Il et Pureté à Lui- nous a instauré ce qu’Il a légiféré aux Prophètes précédents et aux anciens Messagers. Il a aussi explicité qu’Ibrâhîm -prière et salut d’Allâh sur lui- a enjoint à ses enfants de pratiquer l’islam, de même que Ye‘qoûb -prière et salut d’Allâh sur lui-. Également, Allâh -Pureté à Lui- a évoqué au sujet de Noûh (Noé) -prière et salut d’Allâh sur lui- ce qui désigne qu’il était musulman. Dans son récit cité dans la Sourate Yoûnous (Jonas), Allâh a reproduit les paroles que Noûh a adressées à son peuple Et il m’a été commandé que je sois du  nombre des musulmans (des soumis à Allâh)﴿ Yoûnous (Jonas), v. 72. Par ailleurs, Allâh a informé que Moûcê (Moïse) -prière et salut d’Allâh sur lui- a ditEt Moûcê dit : « Ô mon peuple, si vous croyez en Allâh, placez votre confiance en lui si vous Lui êtes musulmans (soumis à Allâh)﴿ Yoûnous (Jonas), v. 84 ; et Il a dit de Belqîs (la Reine de Saba)Elle dit : « Seigneur, je me suis fait du tort à moi-même : Je me soumets avec Souleymên (Salomon) à Allâh, Seigneur de l’Univers »﴿ An-Neml (Les Fourmis), v. 44. Ainsi, on sait à l’appui de ces Versets et des sens qu’ils contiennent que l’islam est la religion de tous les Prophètes et Messagers –que la Prière et le Salut soient sur eux-, qu’il est vraiment la religion d’Allâh, qu’Il n’a aucune autre et dont Il n’accepte de personne une autre religion. L’islam est la religion qu’Allâh a ordonné aux Messagers d’établir. »[7]

De même, parmi les preuves qui arguent de la dimension universelle de la religion musulmane, quantité de versets et hadiths dont le moins qu’on puisse faire après les avoir lus ou entendus est de chercher l’intérêt de leur révélation. Pourquoi notre Seigneur a spécifiquement conféré ce caractère d’universalité à l’islam en tant que dernière religion céleste, sous sa forme révélée au Prophète Mouhammed -prière et salut d’Allâh sur lui- ? Tandis que les Prophètes des autres religions n’étaient envoyés que pour leurs communautés, tel que l’avait attesté notre Seigneur -Exalté soit-Il- par Sa Parole Et Nous ne t’avons envoyé qu’en tant qu’annonciateur et avertisseur pour toute l’humanité. Mais la plupart des gens ne savent pas ﴿ Saba’, v. 28 ; et de Son Livre, le Saint-Qour’ên « Coran »[8], Il dit -qu’Il soit Très Haut-Qu’on exalte la Bénédiction de Celui qui a fait descendre le Livre de Discernement (le Qour’ên) sur Son serviteur, afin qu’il soit un avertisseur à l’Univers﴿ El Fourqân (Le Discernement), v. 01. Et le Prophète -prière et salut d’Allâh sur lui- dit : « On (le on renvoie à Allâh) m’a donné cinq choses que nul Prophète avant moi n’a eu (…) et chaque Prophète était particulièrement envoyé à son peuple alors que je suis envoyé à tous les hommes. »[9] ; et avec un ton asserté, le Messager d’Allâh Icê (Jésus)[10] -prière et salut d’Allâh sur lui- informe de sa Prophétie en disant : ((Je n’ai été envoyé qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël.)) Matthieu 15:24, ce qui rejoint étroitement les deux arguments islamiques précités.

À son commentaire du verset susmentionné (El Fourqân : Le Discernement, 01), l’éminent savant, l’imam Ibn Kathîr -qu’Allâh lui fasse miséricorde- a dit : « Quant à Sa Paroleafin qu’il soit un avertisseur à l’Univers﴿ cela veut dire qu’Allâh l’a spécifié par ce Livre sublime, explicite, détaillé et parfaitement établi dont Le faux ne l’atteint ni par devant ni par derrière (inaccessible à l’erreur) : c’est une Révélation émanant d’un Sage, Digne de louange﴿ [Foussilat v. 42], et qu’Il a conçu en tant que discernement impeccable. En fait, Allâh a singularisé Son Prophète -prière et salut d’Allâh sur lui- par ce Livre afin qu’Il soit un Messager spécifiquement envoyé à tous les humains, tel qu’il a dit -prière et salut d’Allâh sur lui- : « Je suis envoyé pour l’homme rouge et pour l’homme noir. »[11] [Cela veut dire, sans distinction de race ni de couleur]… Et Allâh qu’Il soit Très-Haut a dit Dis : « Ô hommes ! Je suis, en toute vérité, pour vous tous le Messager d’Allâh, à Qui appartient la royauté des cieux et de la terre. Pas de divinité à part Lui. Il donne la vie et Il donne la mort﴿; cela veut dire : Celui qui m’a envoyé est le Roi des cieux et de la terre qui dit à une chose « Sois !» et la chose est, et c’est Lui qui fait vivre et mourir. »[12]

Enfin, parmi les hadiths les plus explicites qui prophétisent que la fin bienheureuse sera pour l’islam, et qui par conséquent devraient enfler d’espérance et de foi tout croyant, est le dire du Prophète -prière et salut d’Allâh sur lui- relaté par le compagnon Thawbên -qu’Allâh l’agrée- : «Allâh m’a rassemblé la terre et j’en ai vu les parties orientales et occidentales ; et, très certainement, le règne de ma Nation atteindra les parties qui m’ont été rassemblées, et on m’a donné (le « on » renvoie à Allâh) les deux trésors rouge et blanc (l’or et l’argent) ; et j’ai demandé à mon Seigneur qu’Il ne fasse pas périr ma Nation par une disette généralisée, et je Lui ai également demandé qu’Il ne lui inflige pas la tyrannie d’un ennemi étranger qui pourrait l’exterminer. Mon Seigneur m’a répondu en disant : ‘’Ô Mouhammed ! Quand Je décide d’un Décret, il ne peut être rejeté ; Je t’ai donné pour ta Nation [la Promesse] de ne pas la faire périr par une disette générale, de ne pas lui infliger la tyrannie d’un ennemi étranger qui l’exterminera, et ceci même si tous les hommes se trouvant sur la terre se rassembleront contre elle !’’ .»[13]

Et notre dernière invocation estLouange à Allâh, Le Seigneur de l’univers!﴿

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[1]Rapporté par Ahmed et At-Tirmidhî d’après Houdheyfa Ibn El Yamên, voir Ach-Chamê’il el Mouhammadiyya (les qualités mouhammadiennes), hadith n° 361.  

[2]Les pieux prédécesseurs, en arabe As-Selef AsSâlih, sont les savants des trois premiers siècles hégiriens méritoires ainsi que tous les musulmans qui les suivent sur leur voie. Le Prophète -prière et salut d’Allâh sur lui- a témoigné de la droiture et la piété de ces générations par son dire : « Les gens les plus bénéfiques sont ceux de mon siècle (ma génération), puis ceux qui viendront après eux, ensuite ceux qui viendront après eux Hadith unanimement jugé authentique. C’est pour cette raison que les savants de la Sounna incitent à la pratique et la compréhension de notre religion suivant les fondements mis en place par AsSalaf AsSâlih. Lire pour davantage connaissances sur ce sujet nos traductions Définition de la Salafiyya ou de la voie salafie, de l’imam El Elbênî, sur: http://scienceetpratique.com/?p=189, et Tenir fermement à la voie salafie, de l’érudit Dr Rabî’ El Medkhalî, sur: http://scienceetpratique.com/?p=186 ; et Suivre les traces des pieux prédécesseurs, pour atteindre le sentier des maîtres de l’humanité, de moi-même, sur: http://scienceetpratique.com/?p=1382

[3]Rapporté par el Boukhârî et Mouslim.

[4]Rapporté par Mouslim d’après Aboû Mouscê el Ach‘arî.

[5]Lire le livre wa in toutî‘oûhou tahtadoû (Si vous lui obéissez, vous serez guidés), Rabî‘ ibn Hêdi el Medkhali, pp. 9-10, Dar el mirâth an-nabawi, Alger, 2009.

[6]Il faudrait ici retenir que le sens du mot soumis ainsi que ses verbes d’action renvoient directement au sens du mot arabe mouslim (musulman) ; ce qui veut dire que ces Prophètes –que le Salut soient sur eux- prêchaient la foi musulmane qui est la soumission à Allâh, à Ses ordres et Ses interdits. Consulter à ce propos nos articles « L’islam, religion de tous les Prophètes », sur: http://scienceetpratique.com/?p=1522, et « La Lumière de l’islam et les Ténèbres de la mécréance et de l’Association », disponible sur: http://scienceetpratique.com/?p=387

[7]Consulter madjmet racê’il fi-tta‘rîfi bil-islêm (Compilation d’épîtres pour présenter l’islam), ‘Abd el ‘Azîz ibn ‘Abd Allâh ibn Bêz, pp. 16-17, Dâr Adwâ’ As-Salaf, Le Caire, Égypte, éd. 2007. Texte légèrement adapté.

[8]Notons en passant que le terme « Coran », que les Français ont voulu concevoir comme équivalent du terme Qour’ên, est sémantiquement en contradiction totale avec la définition en usage chez les musulmans. Consulter pour prendre connaissance de ce fait, notre article « Mise en garde contre l’erreur usuelle de traduire le terme Qour’ên par l’emprunt Coran », sur: https://scienceetpratique.com/a-lintention-des-musulmans-auteurs-et-traducteurs-francais-et-francophones-

[9]Rapporté par El Boukhârî et Mouslim.

[10]Nous conseillons aux lecteurs qui souhaiteraient apprendre la vérité concernant ce noble Prophète ‘Icê (Jésus) -prière et salut d’Allâh sur lui-, de lire L’Unicité d’Allâh dans la Thora, l’Évangile et le Qour’ên, petite épître à l’intention de notre voisin le chrétien, disponible sur : http://scienceetpratique.com/?p=409

[11]Rapporté par Mouslim.

[12]Voir le commentaire d’ibn Kathîr au verset 1 de la sourate El Fourqân (Le Discernement).  

[13]Rapporté par Mouslim.