La Lumière de l’islam, et les Ténèbres de la Mécréance et de l’Association

نور الإسلام وظلمات الكفر والشرك

Aboû Fahîma Abd Ar-Rahmên AYAD

Certes, la Louange est à Allâh, nous le louons, implorons Son Secours et Lui demandons le Pardon. Nous nous protégeons par Allâh contre le mal de nos propres âmes et contre les maux engendrés par nos mauvaises actions. Celui qu’Allâh guide, nul ne pourra l’égarer, et celui qu’Il égare, nul ne pourra le guider. Et j’atteste qu’il n’y a point de dieu à part Allâh, Seul sans aucun associé, et j’atteste que Mouhammed est Son serviteur et Messager.

Avant d’aller dans le vif du sujet, il conviendrait de présenter une définition générale de l’islam. Il existe plusieurs définitions données par les savants musulmans ; mais étant donné qu’elle est plus précise, nous mentionnerons la suivante : « c’est la soumission à Allâh par le Tewhîd (unicité), l’observance de Son obéissance et le reniement du Chirk (l’Association, polythéisme) et de ses adeptes. »[1]

Cela étant, nous pouvons facilement comprendre à l’appui de ladite signification, qu’en fait le terme islam  renvoie réellement à l’essence de toutes les religions qui l’ont précédé. Car, il n’est pas de doute que tous les Messages divins contenus dans les religions instaurées[2] par Allâh -Pureté à Lui-, renferment les institutions évoquées dans le sens du terme islam. En d’autres mots, tout comme la religion prêchée par le Messager d’Allâh Mouhammed , les autres Messagers et Prophètes -Prière et Salut d’Allâh sur eux tous- ont aussi prôné les mêmes bases instituées par Notre Créateur -Très Haut soit-Il-. Noûh (Noé), Ibrâhîm (Abraham), Moûsâ (Moïse) cIsâ (Jésus) ainsi que tous les Prophètes ont appelé leurs peuples à se soumettre à Allâh par le Tawhîd, à Lui être obéissants et à se désavouer du Chirk (polythéisme, Association) et de ses partisans.

Ainsi, parler des bienfaits de l’islam, c’est évoquer d’innombrables valeurs et vertus dont la provenance est indissociablement liée à la Miséricorde, la Sagesse, la Science, la Bienfaisance ainsi qu’à tous les Attributs de Perfection et de Majesté par lesquels Allâh S’est décrit. Une religion de Miséricorde et de Vérité, car elle provient du Tout Miséricordieux, du Véridique -Majesté et Pureté à Lui-.

Parler des indéniables mérites de la religion musulmane, c’est aussi le fait d’attribuer ces mêmes valeurs aux religions monothéistes qui ont précédé l’islam révélé au Messager Mouhammed . Nous appelons religions monothéistes, celles par lesquelles leurs fidèles vouent une adoration unique sans aucun associé à Allâh. De là jaillit une question cruciale : le judaïsme et le christianisme demeurent-ils toujours monothéistes au-delà de l’avènement universel de l’Interpolation et la Modification[3] ? Peut-on raisonnablement prétendre pratiquer le monothéisme (ce qui veut dire linguistiquement et religieusement : vouer le culte à un Unique Adoré ; « Foi en un Dieu unique », selon la définition du dictionnaire Hachette[4]) tout en disant : « Jésus est Fils de Dieu » ? « Il est Dieu même » ? Ou encore en professant la Trinité ?[5] De même, est-il juste de se prononcer monothéistes alors que l’on prétend que : cOzayr est le Fils d’Allâh, et que l’on prend les rabbins pour des Seigneurs en dehors d’Allâh, ils interdisent le licite et autorisent l’interdit[6] ? Ceci, sans oublier en plus toutes les pratiques qui découlent de ces modifications.

Sans le moindre doute, les religions qui jadis étaient authentiques et monothéistes, avant qu’elles ne soient falsifiées, regroupaient de vénérables valeurs et vertus. Mais après la venue de l’islam, religion d’Allâh, le Créateur, -à Lui la Puissance-, qu’Il a révélée à Son Serviteur et Messager Mouhammed , tous ces bienfaits y sont contenus (ainsi que d’autres incalculables). Ainsi, retrouvons-nous une multitude considérable de Textes religieux (Versets et Hadîths), clairs et explicites qui notifient toutes ces réalités que nous venons de faire remarquer.

Allâh -qu’Il soit Exalté- dit ﴾Je n’ai créé les djinns et les hommes que pour qu’ils M’adorent﴿ [Edh-Dhêriyêt, V. 56]. Il a dit aussi ﴾Nous avons envoyé dans chaque communauté un Messager, [pour leur dire] : « Adorez Allâh et écartez-vous du Tâghoût[7] » ﴿ [An-Nehl (Les Abeilles), V. 36] ; et Il a dit Nous envoyâmes Noûh (Noé) vers son peuple. Il dit : « Ô mon peuple, adorez Allâh. Vous n’avez pas d’autre divinité en dehors de Lui. Ne craignez-vous donc pas ? » ﴿ [El Mou’minoûn (Les Croyants), V. 23] ; et Il dit d’Ibrâhîm Et Ibrâhîm, quand il dit à son peuple : « Adorez Allâh et craignez-Le : cela est bien meilleur pour vous si vous saviez ﴿ [El cAnkaboût (L’Araignée), V. 16], et de Moûsâ, Il dit Et Moûsâ leur dit : « Ô mon peuple, si vous croyez en Allâh, placez votre confiance en Lui si vous (Lui) êtes musulmans (soumis) ﴿ [Yoûnous (Jonas), V. 84], et de cIsâ, Il a dit ﴾Alors que le Messie a dit : « Ô enfants d’Israël, adorez Allâh, mon Seigneur et votre Seigneur ». Quiconque associe à Allâh (d’autres divinités) Allâh lui interdit le Paradis ; et son refuge sera le Feu. Et pour les injustes, pas de secoureurs ! ﴿ [El Mê’ida (La Table Servie), V. 72]. Ainsi, mentionner tous ces nobles versets démontre l’unité de la mission de tous les Messagers qui prônèrent des religions dont le fondement est le même : l’exclusivité du culte pour Allâh.

Enfin, à l’ultime des Prophètes et Messagers, Mouhammed , Allâh -à Lui la Puissance- révélaEn effet, il t’a été révélé, ainsi qu’à ceux qui t’ont précédé : « Si tu donnes des associés à Allâh, ton œuvre sera certes vaine ; et tu seras très certainement du nombre des perdants. » ﴿ [Az-Zoumar (Les Groupes), V. 72] ; et Il lui dit également ﴾ suis ce qui t’a été révélé de la part de ton Seigneur. Point d’adoré autre que Lui. Et écarte-toi des associateurs.﴿ [El Ancêm (Les Bestiaux), V. 106].

Cela étant dit, il y a là un immense repère de guidée et de lumière : le Tewhîd (unicité). Allâh -Pureté à Lui- dit Allâh est la Lumière des cieux et de la terre. Sa Lumière est semblable à une niche où se trouve une lampe. La lampe est dans un récipient de cristal et celui-ci ressemble à un astre de grand éclat ; son combustible vient d’un arbre béni : un olivier ni oriental ni occidental dont l’huile semble éclairer sans même que le feu la touche. Lumière sur lumière. Allâh guide vers Sa lumière qui Il veut. Allâh propose aux hommes des paraboles et Allâh est Omniscient ﴿ [An-Noûr (La Lumière), V. 35].

Commentant cette parabole, l’illustre commentateur du Qour’ên à notre époque, le Cheikh cAbd Ar-Rahmên Es-Secرحمه الله a dit : « L’interprétation de cette parabole qu’Allâh a citée, qui s’applique à l’état du croyant dont le cœur abrite la lumière d’Allâh ; c’est que sa saine nature [El Fitra] dans laquelle il est créé est du même degré que l’huile pure. Sa saine nature est pure et prête à recevoir les enseignements divins, à pratiquer les œuvres légiférées [par Allâh]. Quand la science et la foi lui seront parvenues, cette lumière s’allumera dans son cœur à l’exemple du feu qui allume la mèche d’une lampe. Le croyant est de cœur pur (exempt) de mauvais desseins et d’une mauvaise compréhension [des enseignements] d’Allâh. Une fois que la foi l’atteint, il s’éclairera d’une immense illumination, car il est sain de toute impureté. La pureté de ce cœur est semblable à celle d’un récipient de cristal au grand éclat ; ainsi seront regroupés autour de lui la lumière de la saine nature, de la foi et de la science, de même que la clarté de la connaissance [des choses], lumière sur lumière. » Fin de citation[8].

Le Tout-Puissant dit aussi Est-ce celui qui était mort[9] et que Nous avons ramené à la vie et à qui Nous avons assigné une lumière grâce à laquelle il marche parmi les gens, est pareil à celui qui est dans les ténèbres sans pouvoir en sortir﴿ [El Ancêm (Les Bestiaux), V. 122]. Citant ce Verset, l’éminent cheikh Ech-Chanqîtî رحمه الله a dit : « Le remède à la faiblesse d’esprit est de l’illuminer avec la Lumière de la Révélation. Car, la Révélation guide vers les intérêts qui ne peuvent être atteints par les esprits seuls. Dans ce verset, Il (Allâh) a démontré que par la Lumière de la foi, celui qui est mort sera revivifié et sa voie dans laquelle il marche sera éclairée. Allâh –Très-Haut soit-Il- a dit également Allâh est le défenseur de ceux qui ont la foi : Il les fait sortir des ténèbres à la lumière﴿ [El Baqara (La Vache), V. 257]. Et Il a dit aussi Qui est donc mieux guidé ? Celui qui marche face contre terre ou celui qui marche redressé sur un chemin droit﴿ [El Moulk (La Royauté), V. 22.] »[10]

Par ailleurs, la Sounna du Prophète est, elle aussi, riche de hadiths authentiques qui démontrent et déploient les hauts égards de la dernière religion instaurée par Allâh à l’humanité entière. Parmi ceux-ci, nous citons une invocation par laquelle le Messager invoquait Allâh quand il priait ; les différents passages de cette dernière indiquent le rôle du Tewhîd (l’unicité d’Allâh), et la nature du lien qu’il crée entre le serviteur et son Seigneur. Mouslim rapporte d’après cAli Ibn Abi Tâlib que le Messager d’Allâh disait lorsqu’il se dressait pour prier : « J’oriente mon visage exclusivement vers Celui qui a créé les cieux et la terre ; et je ne suis point de ceux qui Lui donnent des associés[11] ; certainement, ma salât, mes actes de dévotion, ma vie et ma mort appartiennent à Allâh, Seigneur des mondes, à Lui nul associé ! Et voilà ce qu’il m’a été ordonné, et je suis du nombre des musulmans (soumis à Allâh)[12]. Ô Allâh ! Tu es certes Le Roi, nul adoré en dehors de Toi ! Tu es mon Seigneur et je suis Ton serviteur ; je me suis fait tort à moi-même et je reconnais ma faute, pardonne-moi donc tous mes péchés, certes, nul ne pardonne les péchés à part Toi ; et guide-moi pour avoir les meilleurs caractères, certes, nul ne guide vers eux à part Toi, et détourne de moi les mauvais caractères, car nul ne détourne des mauvais caractères si ce n’est Toi…»

Un autre hadîth, également sous la forme d’invocation, vient aussi élucider la relation entre l’humain et le divin engendrée par le culte purement donné à Allâh. Il montre comment le Messager priait craintivement son Seigneur de le préserver de l’égarement. Cela explique, en outre, le souci que devrait avoir tout croyant de craindre les tentations de cette vie, qui pourraient déboucher sur la mécréance -qu’Allâh nous en préserve-. En effet, étant donné que le Prophète demandait le secours d’Allâh afin qu’il ne tombe pas dans l’égarement (qui peut être inférieur à l’incroyance), le musulman se doit donc de se sentir plus concerné à éprouver ce sentiment de peur qui, logiquement, devrait l’emmener à protéger sa foi. Se soumettre à Allâh -Majesté à Lui-, s’appliquer à Sa religion et suivre la Sounna de Son Messager , ces actes, sont sans nul doute la seule voie pour acquérir ladite protection religieuse. D’après Ibn cAbbês , le Messager d’Allâh disait : «Ô Allâh ! Je me suis soumis à Toi, j’ai cru en Toi, j’ai placé ma confiance en Toi ; je m’en suis remis à Toi et c’est par Toi que j’ai pris à partie (mes adversaires). Ô Allâh ! Je me mets sous la protection de Ta toute Puissance, nul adoré autre que Toi, afin que Tu ne m’égares pas. C’est Toi le Vivant qui ne meurt pas, tandis que les djinns et les humains meurent.»[13]

De même, rappelons constamment le fondement du Tawhîd sur lequel sont construites les religions monothéistes[14], le Prophète énonça un jour à son compagnon Moucêdh : «Le droit d’Allâh sur Ses serviteurs est qu’ils L’adorent sans ne Lui rien associer»[15]. Le cheikh de l’islam Ibn Teymiyya رحمه الله a dit après avoir mentionné ce hadith : «Allâh -qu’Il soit Très-Haut – est en droit d’être adoré sans ne Lui donner aucun associé. C’est cela le fondement (la base) du Tewhîd avec lequel Allâh a envoyé les Messagers et (a) fait descendre les Livres.»[16]

Cela étant, une personne lucide, raisonnable et sincère ; une personne clairvoyante ne se permettrait jamais de ne pas rechercher la vérité concernant l’authenticité du Message islamique. Une recherche dont l’objectif est de discerner le vrai du faux avec rigueur et fermeté, non pas de tenter de survoler hâtivement les textes islamiques, ni de se contenter d’une simple recherche laconique et superficielle ; une personne qui veut être guidée parce que son intelligence lui dicte que cela ne tient pas de croire que l’univers soit créé vainement, que pour vivre et mourir, telle qu’elle est la conception athéiste. De plus, cela ne tient pas que le Créateur soit incarné dans ses créatures comme le disent et le croient les juifs et les chrétiens ainsi que toutes les autres obédiences religieuses hormis l’islam.

Lire l’ultime Parole divine, le Qour’ên (Coran) avec attention et bonne intention est sans doute un chemin sûr pour parvenir enfin à la guidée divine. Durant sa mission, le Prophète Mouhammed s’adressait aux incroyants en leur récitant la Parole de Son Seigneur. Aussi, lire et méditer sur les sens de la Sounna qui est l’ensemble de la conduite du Prophète , de ses dires, de ses actes et de ses consentements et approbations quant aux faits et événements qui se déroulèrent de son vivant est certainement un moyen de réussite qui guide à la vérité.

Enfin, notre Créateur -qu’Il soit Très-Haut- dit Et puis, quiconque Allâh veut guider, Il lui ouvre le cœur à l’Islam﴿ [El Ancêm (Les Bestiaux), V. 125].Et quant à ceux qui luttent pour Notre cause, Nous les guiderons certes sur Nos sentiers. Allâh est en vérité avec les bienfaisants﴿ [El cAnkaboût (L’Araignée), V. 69].

Ceci dit, et notre dernière invocation est : Louange à Allâh le Seigneur des mondes, et que la Prière et le Salut d’Allâh soient sur notre Prophète et Maître Mouhammed , sur sa famille et ses compagnons.

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[1] Voir Fatêwa cheikh El Islêm Ibn Teymiyya ; et, El Ousoûl Eth-Thèlêth de Cheikh El Islêm Mouhammed Ibn cAbd El Wahhêb -qu’Allâh leur fasse miséricorde-.

[2] Allusion ici faite aux autres « religions » qui en vérité sont la production de l’homme, de sa pensée, de ses méditations, telles que le Bouddhisme, l’Hindouisme, etc. La différence, toute entière, entre ces « religions » et l’islam est du même type que celle qui existe, à tous les égards, entre le Créateur : Allâh -à Lui la Majesté-, et la créature, à savoir les fondateurs des « systèmes religieux » précités.

[3] Consulter à ce sujet un très beau livre intitulé : l’Unicité d’Allâh dans la Thora, l’Évangile et le Qour’ên, petite épitre à l’intention de notre voisin le chrétien, écrit par le Docteur Abd El Malik El Koulayyib, introduit par le Cheikh Abd El Ghani Aoussat, traduit et préfacé par Abou Fahîma Abd Ar-Rahmên, éd. Dar El Imam Malek, 2008.

[4] Hachette dictionnaire encyclopédique 2000.

[5] Revoir la note n°3.

[6] Allâh -Majesté à Lui- dit Ils ont pris leurs rabbins et leurs moines, ainsi que le Messie fils de Marie, comme Seigneurs en dehors d’Allâh, alors qu’on ne leur a commandé que d’adorer un Adoré unique. Pas de divinité à part Lui ! Gloire à Lui ! Il est au-dessus de ce qu’ils [Lui] associent ﴿ At-Tawba/ V. 31.

[7] Tâghoût est un terme arabe qui signifie toute chose par laquelle l’homme dépasse ses limites, tel que ce que l’on adore, que l’on suit ou à laquelle on obéit en dehors d’Allâh.

[8] Consulter L’exégèse du cheikh Es-Secdî, au verset 35, sourate An-Noûr.

[9] Mort : au sens figuré. Allusion ici faite aux mécréants qui refusent la lumière du Qour’ên.

[10] Consulter : Mouhammed El Amîn Ech-Chanqîtî رحمه الله, El Islêm Dînoun Kêmil (L’islam, une religion parfaite), publié aux Éditions science et pratique, Béjaia, Algérie, et disponible sur: http://scienceetpratique.com/?p=557

[11] On peut lire cette partie dans la sourate El Ancêm au Verset 79. De même, des versets similaires sont cités dans la Parole d’Allâh, le Saint Qour’ên. Chose qui prouve par ailleurs l’interaction, très forte, entre les Versets du Qour’ên et la Sounna. Deux sources fondant la religion musulmane trouvant leur origine dans la Révélation divine.

[12] Voir la sourate précédente au Verset 161-162.

[13] Hadith unanimement reconnu authentique.

[14] Sans que nous quitte l’esprit le sens authentique de la notion religions monothéistes que nous avons clarifié au début de cet article.

[15] Hadith rapporté par El Boukhârî et Mouslim dont l’intégralité est : Moucêdh Ibn Djabel dit :  » (une fois) j’étais assis derrière le Prophète sur une monture ; il me dit : « Ô Moucêdh ! Sais-tu quel est le droit d’Allâh sur ses serviteurs ? « . Allâh et Son Messager sont plus savants, lui dis-je. Il dit : »Son droit sur eux est qu’ils l’adorent sans ne rien Lui associer ; ô Moucêdh ! Sais-tu quel est le droit des serviteurs sur Allâh s’ils l’adorent sans ne lui donner d’associé(s) ? Allâh et Son Messager sont plus savants, lui dis-je. Il dit : « Leur droit sur Lui est qu’Il ne les châtie point.»

[16] Lire Iqtidâ’ AsSirât El Moustaqîm Moukhêlafat Ashâb El Djahîm, p. 462.